Morsure.
Parfois il y a des gens malsains,
Qui vous font perdre tous vos moyens.
Qui d’ une phrase vous brisent,
Au premier abord, pas incisive.
Mais elle vous blesse en vous mordant,
D’ une critique déguisée en compliment.
Le fond semble bien y être,
La forme elle, procure le mal-être.
Ton décalé, second degrés acéré,
Le caustique aime à tout ronger.
Estime et confiance en soi,
Brisées entre deux doigts.
Qui sont ces destructeurs ?
Des jaloux, des compétiteurs ?
Leur unique devise : écraser,
Pour pouvoir se sentir exister .
Leur arme : la dose d’arsenic,
Du genre pervers narcissique.
Glomérule Néphron.
Photo de la page cliquez ICI
mordons les avant qu’elles ne nous mordent…
J’aimeAimé par 1 personne
Oh, nom d’un chien ! Aucun ton agressif dans cette diatribe, pourtant, mais des paroles graves et nécessairement justes qui mélangent du sérieux et du plaisant.
Oui, voilà une écriture passionnée, sans aucun doute, avec toute l’énergie d’un homme qui prend le mors aux dents, avec bien entendu ce trait d’esprit qui ne manque pas de mordant, Glomérule !
Un vaccin contre la rage, peut-être ?
Amicales amitiés de Yannucoj (le seul, le vrai, l’unique, l’inimitable)
J’aimeAimé par 1 personne