Poésie de comptoir.
(Navré d’avance pour ce manque de finesse. Hips)
Quelques rimes qui trinqueront et résonneront avec nos mots premiers, nos rimes orphelines abandonnées. Attention un «poème» à consommer avec modération comme tout alcool , bien sûr 😉
Les mots en bleu ne possèdent pas de rimes en français. Leur sens cliquer ICI
J’ai inventé ceux en rouge pour rimer avec eux. Leur sens cliquer Là
Poésie de comptoir.
J’ai encore bu trop de bière belge.
Y en avait même à l’ abricot et à la pelge.
Y paraît que trop d’ albulbe,
Hips, d’ alcool vous ramollit le bulbe.
J’ai arrêté de compter les pintes de Lefte,
À la sixième, j’étais bourré comme un clephte !
Pourtant la pillave c’est pas mon dogme,
Mais avec la canicule, tout bu comme un seul hogme.
(Hips)
Picolé comme, psss pardon, un goinfre,
La matrone va en faire tout un foinfre.
Put–n il va y avoir un meurtre,
Elle va me tuer et me teurtre,
J’arrive plus à parler, et m’ entertre,
Hips,et m’ enterrer sous le tertre.
Ehhh, j’ ai réussi à le dire,
Vous voyez, c’est pas si pire !
(hé, hé …)
Et pis j’ vais y dire que j’ suis pas un monstre,
Pffouu, que j en ai bu à peine qu’ onztre,
Psss, pardon! et pas quatorze !
P-tain onztre! elle va me torze,
Me tordre j’veux dire, elle a du muscle,
bien pluscle que moi, bien pluscle !
J vais rentrer, rester calme, humble,
Mais rien qu’ à y penser déjà j’ en trumble.
(Pfffou …)
Je vais m’ en prendre plein la tête, c’est simple,
Même si le barman Alsacien me dit : « reste himple »
Il y a dans l’ air du sarcle,
Des remontrances et des clarcles,
Hips, plein ma gueule, et des «mon pauvre» ,
Pauvre type, Pauvre c-n , faut pas que j’ l’ auvre,
Mieux, j’ vais m’ «faux-filet» 🙂 hips, manger un peu de sanve,
Pour l’ haleine, et monter me coucher en me tenant à la ranve,
(Chuuuut ! discret … p-tain !)
Merdum, j’ai fait tomber dans l’ escalier mes quinze verstes,
Il m’ fallait juste un peu de discrétion, qu’ unze… zerste !
Elle arrive la patronne on dirait Hulkre,
Verte de rage, ce soir j’vais droit au sépulcre…
Glomérule Néphron (qui a su rester sobre pour écrire ce texte) .
Tout aussi glauque que mon premier texte en prose qui ne rimait à rien non plus !
Mais on dirait que l’ inspiration est revenue !
Si vous voulez connaître le sens de ces nouveaux mots rimeurs en rouge Cliquez ICI pour le mini Dico des orpherimes !
Photo de la page cliquez ICI Hipsss
super la chope et le poème…
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Merci. Trinquons aux bons moments et à la Vie. Tchin !
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tchin! et bonne soirée!
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A toi aussi 🙂
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🙂
mouarf ! j’adore l’hogme qui reste himple !
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😉 Tchin à toi aussi. Tournée générale… On va être beau demain !
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non, mais on est toujours beau, surtout toi ; et j’aime/j’adore ta litanie du vrai-faux-poivrot. Je te la piquerai bien, tiens, t’taleur, quand tu seras fin ivrognardé 🙂
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J’ai mis une chaîne à mon portefeuille mais pas à mon idée . Hips. Ou plutôt oups ! 🙂 Mais j’ te la donne parce que je t’ aime bien aussi ! J’ai l’ alcool joyeux. Et re- tchin !
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héhé! bravo!
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Merci. J’en ai encore la tête qui tourne… Hips
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😀
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Ah bin bravo ! C’est au moins de la bièrimple de Belgulcre, sinon c’est impardonumble ! Gaffe de pas te casser la binephte en tombant dans les escalionstres.
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Trop tard . J’ ai dévalé les escaliomonstres. Encore un de ces mal au culcre …
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Un connaiphlegme de bière belge, ne peut décemment pas décevoir, hic ! Je dis donc muscluveusement parlant que je me délecte tout en buvant mon Orval, des Orvaux, hic. Braveurtre, j’en suis à ma quatorzième, et m’en vais me pieutrème.
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Hips. Tenez vous bien à la ranve de « l’ escalionstre » comme dirait Jo bougon 😉
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