Le sage
Assis au sommet de cette Montagne,
Le sage ressent ce Monde s’agiter.
Posé sur les replis de son pagne,
Il est encore en train de méditer.
Sa respiration comme en témoigne
Ses mouvements, est profonde et réglée.
Il voit toute cette (in)humaine hargne,
Alors qu’il a déjà les yeux fermés.
Du plus haut, son âme scrute la campagne,
Injustice, désarroi, impuissance, discernés.
L’ignorance, l’intolérance, la violence gagnent
Le coeur des Hommes, sournoisement infiltré.
La Kuṇḍalinī mystérieuse compagne,
Energie divine, en lui vient de se libérer.
Il entrevoit le saṃsāra infernal, son bagne,
La pleine conscience l’a enfin délivré .
Univers illusoire où l’on stagne,
Nous sommes ici pour nous élever.
Pensons-y, embourbés dans cette fagne
Au risque de devoir tout recommencer …
Glomérule Néphron.
Petit Lexique : Kuṇḍalinī, saṃsāra, ou plus d’explications, fagne
joli mot, cette fagne ; une fange où dérapent l’enne et le gé 🙂
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Bien vu 🙂
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J’adore !
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Merci 🙂
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Très éloquent. J’ai beaucoup apprécié. Merci beaucoup pour ton partage.
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Merci.:)
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Je t’en prie. C’est moi.
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Superbe texte encore une fois 👏👏👏
J’adore, merci pour ces delicieux partages 🙏
Bonne journee Glomérule
Bise
Clem
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Merci. Bonne journée à toi aussi.
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