Pour clore cette anecdote Remington, et la parenthèse Georges Perec – oui, un type très personnel 😉 – qui démontra que l’ on peut facilement vivre sans « E » ( sans eux) .
Voici un petit poème qui répond au fond et à la forme mais antinomiquement, à la question : puis-je vivre sans « L » (sans elle) ?
Sans L,
Puis-je vivre,
Uniquement survivre ?
Des années de vie à deux,
Nous ont soudés, épreuve du feu.
Toujours une profonde connivence,
Un premier jour où tout commence.
Tant de fois secoués, éprouvés ,
Sauvés par nos destins fusionnés.
Comment progresser, approcher,
Extase, béatitude, sommet …
Sans ELLE .
Glomérule Néphron.
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Sans L, bien sûr, il n’a plus d’L! 😉
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Et voilà ! Comment décoLLer sans L ?
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😀🤔
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sans L, c’est dur quand même, on arrive moins haut…..
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Exactement. Comment s’ envoler, aller plus haut … sans L …
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exactement
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Merveilleux.
Félicitations. J’adore.
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Merci Fred. J’aime bien tes poèmes aussi.
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Et en plus c’est joli ! Finalement sans L ça marche très bien !
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Et un coucou à Anne !!!
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Ca me donne une impression de terreux sans L!
Très joli exercice, bravo pour ce poème 🙂 😀
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Merci . Content que tu apprécies ce petit texte 🙂
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une prouesse que raconter cette vérité d’éternité ô combien natureLLe………bravo M. Néphron
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Merci malyloup 🙂
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